Synopsis
C’est un phénomène qui n’épargne personne : partout, dans le monde, des hommes, des femmes partent vers d’autres horizons dans l’espoir d’une vie meilleure. Guy Régis Jr a ainsi vu son père quitter Haïti et ne jamais revenir. Comment grandit-on avec ce vide, ce mutisme autour de l’absence ? Les cinq fois où j’ai vu mon père est un exercice de mémoire conjugué sur plusieurs supports, chacun apportant de nouvelles nuances à ce récit : un récit-roman et un récit-scène, et maintenant un récit-film.
Des mots pour remonter le temps, repriser les trous de mémoire, s’inventer des histoires, vérifier l’authenticité des souvenirs lointains. Et puis élargir la focale. Penser que l’acte de partir est une déchirure intime mais aussi la marque de fabrique d’une île ravagée par des politiciens cupides et tortionnaires, une île balayée par des catastrophes économiques et naturelles.
À Port-au-Prince, les nouvelles que diffuse la radio bercent un quotidien intranquille. L’insouciance des enfants est de courte durée. La poésie, qu’elle soit écrite ou parlée sur un plateau de théâtre, sera ici déployée en image animée pour enfin conjurer le sort. Pour apprendre à vivre, à devenir un être libre.
Le narrateur-auteur, questionne l’absence, la mémoire, le silence, le mystère et les traces laissées là, avant qu’elles ne s’effacent.
Note du réalisateur
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Note du producteur
Fiche du film
Titre |
Les 5 fois où j’ai vu mon père |
Catégorie |
fiction cinéma |
Durée |
90 minutes |
Réalisateur |
Guy REGIS Junior (Haïti)
|
Producteur en charge |
Productions Fanal (Haïti) |
Coproducteurs |
LilithFilmsfr
(France)
|
Langues du film |
français
|
Lieux de tournage |
|
Stade |
ra qéirybccrzrag |
Le projet recherche |
Svanaprzrag
Qvfgevohgrhe
Qvsshfrhef
Srfgvinyf
|
Budget |
XX XXX |
Budget acquis |
XX XXX |
Budget coproducteurs |
X XXX |
Budget recherche |
< XXX x€ |
Soutiens obtenus |
OIF
|
Eléments disponibles |
Fpéanevb ra senaçnvf
Ohqtrg qégnvyyé
Cyna qr svanaprzrag
Fgbelobneq / Ybbxobbx
Tnyrevr Cubgb
Yvraf svyzf ceépéqragf
|
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